Place de ma MOB

Tiens ça faisait un moment qu’on n’avait pas parlé d’elle. Comme l’électricien voit bientôt le bout de l’équipement de la maison (prises&inter), il va pouvoir se pencher sérieusement sur la finalisation de l’installation de la bête. D’ailleurs la voici suspendue à sa réglette de fixation.

C’est un sacré meuble qui occupe la quasi totalité du placard que nous lui avons assigné à gauche dans l’entrée. C’est d’ailleurs le jour de son installation, en pleine pose des portes intérieures que nous avons réalisé avec une certaine dose de consternation que le chambranle de la porte s’il est posé, empêchera l’ouverture de la trappe de visite que voici. Je reviendrai plus tard sur la solution de contournement envisagée.

Cette trappe donne accès aux trois filtres qui assurent le nettoyage de l’air aspiré en façade juste au dessus de la buanderie. Voici ces trois filtres.

Voici le dessous du caisson avec ses quatre pieds suspendus en l’air (elle peut se poser au sol) et au centre un peu à droite, l’orifice d’évacuation des condensats qui sera connecté à un siphon via un flexible type machine à laver.

Au dessus du caisson on voit les quatre gaines en 150mm qui sont encore en attente de fixation définitive.

Dernière intervention en date sur le réseau de gaines cette semaine avec la pose du deuxième piège à son (PAS) juste avant le plénum d’insufflation. Son rôle est de limiter les bruits générés par le passage de l’air dans les gaines. Voici le PAS avant son installation.


Il a été branché juste avant le plénum que l’on aperçoit à gauche avec sa forme triangulaire, puis il a été recouvert avec l’habillage plastique de la gaine qui a été raccourcie pour pouvoir l’accueillir.

Cette ouverture se situe dans le placard de la chambre de Valentine, elle sera obturée par une trappe de visite.

En fouillant un peu j’ai mis la main sur le boîtier de commande sans fil de la VMC.

C’est un boîtier sans fil qui permet de gérer les débits, l’activation du by-pass, visualiser les températures de l’air extrait et insufflé, le rendement, etc.
Le petit carré juste en dessous du boîtier de commande c’est l’interrupteur, toujours sans fil, qui se place dans la cuisine et qui déclenche l’augmentation du débit d’extraction en cas de grosse dissipation de vapeur d’eau.

Bon maintenant je sais que ce n’est pas drôle mais il va falloir songer à aller brancher les gaines d’aspiration d’air neuf et d’extraction de l’air vicié, tout ça dans les combles, froids, bas de plafond, plein de ouate de cellulose qui ne demande qu’à être soulevée par le moindre mouvement. Bref rien d’enviable.

Deux clichés rapides pour montrer le rendu final qui nous plait vraiment beaucoup !
On aperçoit à l’extrême gauche la niche qui accueillera le combi frigo-congélateur.

Un plan rapproché avec les spots à LED intégrés sous les éléments hauts et la hotte allumés.

Que manque-t-il pour parachever tout ça ? Implanter l’électroménager que nous avons acheté à part (plaque induction, four et four micro-ondes encastrables). Implanter le frigo et le lave vaisselle (ça attendra le déménagement c’est que ça nous sert encore un peu en ce moment). Mettre les spots intégrés dans le plafond et une suspension au dessus de l’ilot central. Acheter quelques aménagements de tiroirs et de placards pour pouvoir ranger efficacement.

Bon d’accord elle était facile mais il est tard alors un peu d’indulgence. Le magnifique crayonné que nous esquissa Sabine il y a plusieurs mois en arrière est en train de se transformer en quelque chose de tangible et de plutôt fidèle. Après deux jours de pose c’est déjà quasiment terminé, je vous laisse découvrir une vue générale.

Comme vous le voyez nous avons opté pour des meubles blancs, toujours ce souci d’éclaircir la pièce, mais choisi d’accorder la couleur du plan de travail au carrelage. Le généreux ilot central accueille trois tiroirs coulissants de 90cm de large sur une face et un placard classique sur l’autre face. A son autre extrémité se trouve la table où nous prendrons nos repas.

La table est soutenue par ces deux généreux poteaux, pas de risque qu’ils plient.

Nous avons prévu d’encastrer sur le côté de l’ilot une prise électrique et un interrupteur commandant l’éclairage au dessus de l’ilot.

La hotte commandée chez le cuisiniste a été posée, ici en cours d’installation.

Et là pose terminée et déjà fonctionnelle !

Le reste de l’électroménager a été réceptionné mais c’est sans doute nous qui l’installerons car nous l’avons acheté à part.
L’évier trône fièrement face à la fenêtre, il a été centré de sorte que le mitigeur tombe dans l’axe de la fenêtre (il en va de même des deux spots intégrés au plafond qui l’éclaireront.

J’en termine par un peu de mécanique sous la forme de ce cliché montrant le mécanisme intérieur du plateau rotatif hébergé dans le meuble d’angle. Une merveille de conception qui permet de ranger un maximum de choses sans perte d’espace et en les gardant toujours accessibles.

La carreleur fait partie des artisans les plus assidus sur le chantier et ça se voit. Chaque jour les progrès sont impressionnants. La salle de bain des enfants est quasiment terminée, ne manquent plus que les joints. Voici donc ce que ça donne.

Le meuble double vasque de 120 cm de large loge à la perfection entre les deux frises vertes verticales, nous l’avons vérifié aujourd’hui après que Cécile l’a eu assemblé de ses mains expertes (oui c’est suédois ). D’ailleurs il faut qu’elle s’entraîne car elle va devoir assembler les aménagements de placard et le dressing Sogal, des heures d’amusement en perspective …

La trame en verre qui traverse la pièce sur toute sa longueur du sol au plafond rend au final plutôt bien. Ca fait quelque chose de voir enfin matérialisé ce que nous avions jusqu’ici un peu de mal à visualiser. Merci donc au carreleur pour son excellente exécution.

Cette trame remonte le long du chambranle de la porte (c’est pour ça qu’il fallait les poser ces satanées portes).

C’est elle qui a conditionné le positionnement de tout le reste dans cette pièce et elle est la cause de cette toute petite coupe de carrelage.

Voici un gros plan de cette fameuse trame en verre.

La baignoire a été habillée et une trappe de visite ménagée.

Passons maintenant à notre salle de bain et là le résultat est tout aussi bluffant. Le travertin a été posé dans la douche à l’italienne.

En voici un détail.

Et une vue de trois quart.

Heureux hasard, la grille d’évacuation en inox tombe pile dans l’alignement de la frise verticale !
Une vue avec un peu plus de recul.

Achevons ce tour d’horizon des faïences par un petit cliché pris dans les toilettes alors que le carreleur avait posé la mosaïque sur le dessus de l’habillage du bâti-support du WC. Posé pas collé, c’était uniquement pour se rendre compte comment ça tombait. Pas si bien que ça au final, la cloison n’est pas parfaitement droite, il va donc devoir « tricher » pour poser ça sans que ça se voit. On lui fait confiance, il n’arrête pas de tricher et avec un art consommé.

Une bonne chose de faite et un souci de moins avec la fin de la pose des portes intérieures samedi. Ce sont au total 9 portes que nous avons posées tout même avec une fin sur les chapeaux de roues samedi où 4 portes furent posées. Nous avions initialement demandé à des menuisiers de nous les poser mais leur réponse ne fut malheureusement pas satisfaisante et ce pour des raisons différentes. L’un décontenancé par le principe de pose (nous le fumes au début également!) nous proposait une facturation au temps passé, risqué… Le second nous annonçait un prix correct mais avec un délai d’intervention très pénalisant. Or de la pose de ces porte dépendait toute la suite du chantier: pose des plinthes, peinture, pose de la cuisine, pose du poêle, bref ça urgeait !
Finalement notre équipe de menuisiers improvisés a plutôt bien fonctionné, chacun connaissant son rôle et perfectionnant sa technique porte après porte. Un grand merci donc à mon Papa qui m’a aidé dans ce moment critique pour que le chantier puisse se poursuivre dans de bonnes conditions. Quelque chose me dit que ce ne sera pas sa dernière intervention (qui a dit parquet flottant ?).

Je ne vais pas revenir sur le principe de pose qui fut détaillé dans un article précédent donc place aux photos.

Plan plus large avec 3 portes visibles depuis le salon, celle des toilettes est bel et bien posée mais pas au moment où cette photo a été prise.

Le gros morceau s’est situé ici, le couloir interminable !

Et vu de l’autre côté.

J’ai également pu présenter sans le fixer le modèle de poignée de porte intérieure que nous avons retenu. Une vraie réussite.

Tant que l’on est sur les menuiseries, je livre un aperçu du résultat du passage du menuisier qui nous a posé les menuiseries extérieures. La tant attendue vitre de la porte d’entrée est enfin arrivée à bon port et en un seul morceau cette fois.

Il a également posé les arrêts de volets battants, un soulagement car on ne pouvait pas les laisser ouverts sans risquer que le vent les fasse claquer.

Les plus observateurs objecteront qu’ils sont placés un peu près des charnières mais c’était malheureusement inévitable car ils devaient être vissés dans un montant d’ossature et pas seulement dans le bardage (la rançon de la MOB en quelque sorte). Le montant suivant aurait été satisfaisant de ce point de vue mais aurait été trop loin pour permettre l’accès depuis l’intérieur de la maison.

Libéré par la pose du chambranle dans la salle de bain des enfants, le carreleur a pu s’exprimer dans cette pièce dans laquelle il ne pouvait pas attaquer jusqu’ici. Tout ça à cause d’une coquetterie que nous avons voulu ajouter au sol et aux murs sous la forme d’une bande de mosaïque en verre de couleur verte qui descend du plafond le long du chambranle, traverse le carrelage, remonte sur l’habillage de la baignoire puis sur le mur.
Voici en tout cas la réservation dans le carrelage qui accueillera cette bande de mosaïque.

On remarque qu’une toute petite coupe a été nécessaire sur le côté droit, la faute à notre coquetterie, bah ça ne devrait pas être trop gênant avec la plinthe arrivant par dessus. Faisons confiance au carreleur.
La même chose avec la baignoire au bout.

Du côté des WC, la faïence a été posée sur l’habillage du bâti-support. Vous pourrez constater que la marge de sécurité qui a été calculée fait qu’il manque en tout et pour tout un carreau ! Super, on va commander un paquet complet juste pour un carreau, que du bonheur.

Sur la tablette du dessus c’est la mosaïque suivante qui sera posée.

On l’utilisera également pour habiller le mur au dessus du lave mains.

Dans la salle de bain douche, la faïence a également bien avancé mais le mur de droite restera malheureusement nu pendant les 4 semaines à venir le temps d’approvisionner les 3 paquets manquants. Dommage c’est sur ce mur qu’on devait poser le sèche serviettes.

Et voici l’angle de la douche avec la frise verticale (il y aura la même sur le mur opposé).

Et les découpes pour les alimentations en eau de la colonne de douche.

Un gros plan de la baguette de finition métallique.

On en termine avec cette pièce par la présentation du travertin qui constituera la sol de la douche à l’italienne (un tout petit bout d’accord).

Depuis le temps que notre peintre oeuvre dans la maison, je pense qu’il était enfin temps de lui dédier un article dans ce blog. Comme je l’ai déjà signalé dans des articles précédents, les plafonds dans la zone nuit sont quasi terminés et le couloir attend sa première couche de finition.
Mais c’est plutôt sur le salon que je voulais m’arrêter car je vous avais annoncé une petite surprise, une pointe d’originalité voir d’extravagance qui était le fruit d’une illumination lors d’une de mes occasionnelles insomnies. Allez je me jette à l’eau et vous la livre sans autre forme de procès.

C’est osé non ? Limite tendance. En plus on a pas demandé son avis à Valérie Damidot.
Allez le même sous un autre angle de vue.

Et la vue du sas d’entrée. Je confesse que l’idée de cette touche de rouge est de moi mais que l’idée de la prolonger sur les deux pans de murs et pas seulement sur celui faisant face à la cuisine est de Cécile. C’est également elle qui a déniché ce très joli rouge sur le monstrueux nuancier fourni par le peintre. Chapeau l’artiste !

Et encore, ce n’est que la première couche !
La première couche sur les autres murs du salon a également été appliquée aujourd’hui, pour demain c’est la deuxième couche. Pile poil en temps et en heure pour la pose de la cuisine avancée à jeudi. Le plus beau c’est que notre électroménager arrive le même jour.

Comment décrire la couleur des autres murs du salon ? Je dirais à mi-chemin entre le crème et le taupe.
Enfin les tuyaux d’alimentation et d’évacuation ont été peints en blanc, ça fait quand même plus net même si ça sera caché derrière la cuisine.

Après avoir lu la doc de pose de long en large et même en travers, je savais que le montage de ces portes n’allait pas être une partie de plaisir. J’avais raison ! Fort heureusement en ce dimanche plutôt clément, mon dévoué Papa a accepté de me donner là main dans cette tâche ô combien cruciale.  Je l’en remercie encore une fois sur ce blog (je le fais lors de chaque intervention ).

Voici la pile des portes qu’il va falloir monter soit 10 plus la coulissante (cette dernière elle est pour le plaquiste, ouf !). Au fond les chambranles en kit et devant les vantaux.

On déballe donc un vantail (le bon si possible car il y a des 83cm, des 73cm, des poussants droits et des poussants gauches).

Il s’agit de portes à âme tubulaire, ce qui au niveau du poids les situe entre les alvéolées qui ne valent pas grand chose au niveau phonique, et les âme pleines qui sont vraiment trop lourdes.

Un coup d’oeil au mécanisme, quand je dis que ces portes sont faites pour moi !

On attaque donc le montage à plat des deux parties: le chambranle et le contre chambranle. Pour un peu on croirait voir de l’Ikea, la première impression est assez défavorable, on se demande comment ça peut tenir.

Chaque chambranle est en 3 parties que l’on assemble à la colle à bois. Le temps de séchage est occupé à la confection d’étais maison et de cales de tous calibres.

Une fois sec, le chambranle est présenté dans la réservation ménagée par le plaquiste dans la cloison entre la cuisine et la buanderie, puisque c’est la porte qui a été désignée comme cobaye. C’est aussi la plus urgente car la pose de la cuisine a été avancée à ce Jeudi !!

Là il me manque l’étape ou l’ensemble est étayé et calé au prix de (très) longues mesures, vérifications d’aplomb, d’horizontalité , d’équerrage. Et l’on arrive donc à la phase où l’espace entre le chambranle et les montants de la cloison est généreusement comblé à l’aide de mousse de scellement polyuréthane.

Trop généreusement ?

Passent quelques heures de séchage de la mousse, l’occasion d’un bon petit repas à la maison (merci Cécile, heureusement que l’intendance suit pendant ce temps là, sinon tout s’arrête !). Une fois que c’est sec, les excédents de mousse sont délicatement coupés au cutter puis il ne reste plus qu’à enfoncer le contre chambranle dans son logement à l’intérieur du chambranle. On accroche le vantail sur les paumelles et voilà !

Franchement le résultat est bluffant, ça respire la porte cossue mais pour une fraction du prix.

Du coup comme on était chauds on a attaqué la deuxième porte par sa priorité, celle de la salle de bain des enfants. Manque de bol, l’excès de générosité en mousse sur la première porte nous a empêché de terminer la pose de cette deuxième le dimanche. Mon Papa est donc repassé ce matin avec une bombe toute neuve pour combler les manques, et ce soir pour achever la pose de la porte pendant que j’assistais à la réunion de chantier (quel planqué je fais !).

Voici le chambranle étayé, calé et copieusement « moussé ».

Et le résultat final, sans le vantail cette fois.

Comme ça se passe plutôt bien et qu’on ne peut que s’améliorer au fur et à mesure de la pose, on va enchaîner et ce dès mercredi car j’ai posé ma journée. Au programme la pose des 2 portes vitrées dans le salon (porte du sas et porte du couloir). A suivre donc …

Envie de vous montrer enfin les volets Griesser en action. En effet l’électricien a abattu beaucoup de boulot aujourd’hui et il a notamment fait un branchement volant dans le tableau électrique pour pouvoir alimenter les prises et les plafonniers, et donc … les volets roulants empilants.
Voici donc une vidéo d’un d’entre eux en action.

Et bein non, malgré ce que certaines mauvaises langues tendent à dire depuis que le rythme de publication a ralenti, ce blog est toujours vivant. Ce sont tout de même 116 articles qui ont été postés depuis sa naissance le 7 juin dernier, soit une moyenne de 0,7 articles par jour, non mais !

Bien ceci étant établi nous pouvons nous pencher de nouveau sur l’état d’avancement du second oeuvre qui a bien … avancé. Les artisans ayant le plus contribué à cet avancement sont le carreleur et le peintre qui font de grosses journées en ce moment. Le plombier et l’électricien se font plus rares ces derniers temps, encore que certains semblent prendre un malin plaisir à vouloir faire du rab; oui oui je parle bien du plombier, nous reviendrons dans cet article sur ses dernières contributions.

Les changements les plus visibles sont comme la dernière fois à mettre au crédit du carreleur qui après avoir terminé la pose du 60×60 a attaqué le sol du WC, de la salle de bain-douche et de la buanderie. Les carreaux sont de taille bien plus raisonnable, plus simples à manipuler et à poser et il faut admettre qu’il y a aussi beaucoup moins de surface.

Voici ce que ça donne dans le WC.

Avec un gros plan sur la jonction avec le carrelage du couloir.

On retrouve le même carrelage sur le sol de notre salle de bain. Ici côté dressing (le tuyau qui dépasse au fond c’est la prise d’aspiration centralisée, elle sortira dans le couloir).

Ici côté douche.

Le mortier qui constitue la base de la douche a l’italienne a été appliqué. Il faudra que je fasse une photo de la mosaïque que nous avons choisie pour le sol de la douche (à moins que le carreleur soit plus rapide que moi et la pose avant). Il s’agit de mosaïque 10x10mm en travertin.

Et voici un gros plan de la grille d’évacuation en inox.

Du côté des faïences, la situation n’est pas rose. Nous avons eu le grand tort de ne pas vérifier les surfaces cotées par Careo pour le WC et les deux salles de bain; grand mal nous en a pris car il va manquer de la faïence dans les trois pièces, une vraie cata. Avec 4 semaines de délai de livraison nous voilà frais maintenant …

En ce qui concerne les sols fort heureusement il n’y a pas ce genre de souci et la buanderie a pu être intégralement carrelée.

Nous n’avons pas voulu d’un simple carrelage blanc qui a généralement sa place dans cette pièce à vocation utilitaire mais à la place avons choisi un carrelage proche du Corten 60×60 mais tout de même bien moins cher.

Passons maintenant au lot peinture dont la progression est régulière et où l’on a pu voir récemment le salon intégralement poncé et une couche d’impression appliquée.

Enchaînons ensuite sur la fin du feuilleton baignoire qui a connu un dénouement heureux caractérisé par la pose du modèle de baignoire que nous avions choisi, grand ouf de soulagement le soir où je l’ai découverte !!

Une vue du dessous où on la voit bien campée sur ses pieds.

Comme la salle de bain a été légèrement agrandie pour permettre l’incorporation du tuyau d’évacuation du lavabo dans la cloison, il y a désormais un espace de 3-4cm entre la baignoire et la cloison, espace qui devra être habillé par une coupe de carrelage.
Continuons par la reprise des arrivées d’eau dans le secteur buanderie-cuisine. Pour ceux qui ont raté cet épisode, l’alimentation du lave linge a purement et simplement été oubliée et j’ai de mon côté oublié de préciser que je voulais sur l’évier de la cuisine de l’eau froide non adoucie (sûrement parce que c’était une évidence pour moi mais pas pour le plombier en tout cas). Ces reprises ont donné lieu à la pose de cuivre en apparent dans la cuisine (enfin apparent, les meubles de cuisine masqueront tout ça). Le tuyau supérieur c’est l’arrivée d’eau non adoucie et celui du dessous c’est le retour d’eau adoucie depuis l’alimentation du lave vaisselle vers le lave linge, simple non ?

Les mêmes en gros plan.

Côté buanderie ce sera malheureusement moins discret même si le maximum a été fait pour ne pas avoir à faire tout le tour de la pièce avec du cuivre. Ce prodige a été réalisé en passant un nouveau PER dans le plafond ce qui a nécessité de percer à la scie cloche des trous tous les 50cm environ afin de faire avancer le tuyau.

Une fois bien rebouché, poncé, peint poncé, et repeint, il ne devrait plus y paraître.
Reste donc au final cette descente de PER se poursuivant par du cuivre dans l’angle de la buanderie, pas dramatique mais tout de même un peu dommage.

Allez j’en termine par mon dernier sujet car cet article devient interminable et parce qu’il se fait tard. J’ai réceptionné les portes intérieures ce matin, livrées par la société REMAT. Je n’ai pas tout déballé mais le décor chêne à veines horizontales rend plutôt bien. Il n’y a plus qu’à monter tout ça et c’est pas gagné.