Place de ma MOB

    Construire une MOB, toute une aventure… Venez la partager avec nous !

    En tout cas c’est proche !
    Ca y est les volets sont terminés, tous obturés par une plaque d’OSB et les tasseaux posés sur toutes les façades désormais.
    baies
    Ici aussi.
    facade_se
    Un autre indice indiquant que la pose du bardage est très proche.
    grilles
    Ca parle à quelqu’un ? Il s’agit de grilles anti-rongeurs qui empêchent les petites bestioles en tout genre d’aller nicher derrière le bardage. Elles ont été posées sur tout le tour de la maison.
    Autre détail remarquable: un coup de balai a été passé dans la maison, c’est nickel. La même réflexion a été faite hier par un artisan poseur de conduits/vendeur de poêle venu se rendre compte sur place. Tous les chantier ne sont pas aussi bien tenu. Félicitations à l’entreprise Leroy donc.
    J’ai eu confirmation aujourd’hui que le test d’étanchéité était toujours programmé pour jeudi après-midi. Malheureusement, les chances pour que la porte d’entrée soit posée avant le test sont désormais extrêmement faibles.
    Au moment de quitter le chantier j’avise ce qui me semble être de loin un éclat dans un volet en bois, furax je m’approche et je découvre quelque chose de bien plus bénin.
    mante
    Je laisse donc la maison à la garde de mon amie la mante religieuse et je lui dit à demain (à toi aussi lecteur).

    C’est fête ce soir, un deuxième article traitant du carrelage afin de lever le voile sur notre choix un brin atypique.
    Tout a commencé par une visite chez Caréo à Comboire lors de laquelle nous foulames un carrelage qui nous tapa illico dans l’oeil. Il s’agit d’un monstre, du 60×60, ça couvre ! Voici donc la bête posée sur le sol de mon salon actuel carrelé en carreaux blanc 30×30 (oui c’est un choix décoratif osé, je sais).
    interieur
    Ca fait métallique, ça fait rouillé, il y a des reflets sous certains angles, enfin on ne verra pas le même partout (sauf si on traîne trop dans les magasins de carrelage du côté de Comboire).
    Une autre vue de la bête, toujours en intérieur.
    interieur2
    Et maintenant des vues prises à l’extérieur où la colorimétrie de la photo est plus proche de la réalité (la faute à la balance auto des blancs de l’appareil photo).
    exterieur
    Et une dernière avec un méchant reflet du soleil bien appuyé.
    lumiere
    En même temps un carrelage blanc ça reflète pas mal non plus le soleil.
    Intérêt de la bête et de sa couleur sombre, laissé exposé au soleil en plein hiver, il va emmagasiner beaucoup de chaleur gratuite.

    La longue pose des volets roulants empilants (décidément c’est trop vilain comme appellation) s’est poursuivie aujourd’hui, la fin est proche !
    Une fois n’est pas coutume, commençons par la vue d’ensemble.
    ensemble
    On remarque que la fibre de bois a été posée partout désormais, manque encore les tasseaux autour des baies coulissantes. La raison est facilement compréhensible en regardant ce gros plan.

    fini
    Un plaque d’OSB vient recouvrir le mécanisme du volet (jointoyée comme il se doit pour éviter toute infiltration d’eau), et les tasseaux viennent se fixer par dessus pour que le bardage recouvre tout ça. Ainsi, ni vu ni connu les volets, rien dedans, rien dehors, tout dans les manches murs.
    Reste donc à habiller les deux baies coulissantes …
    baies
    …ainsi que les deux fenêtres de la façade SE.
    facade_se
    Une fois les tasseaux fixés sur cette façade, il n’y a plus grand chose pour retenir Leroy d’attaquer le bardage. Si, peut être la frisette sous les passes de toit si c’est l’ordre de pose qu’ils ont retenu. Nous serons bientôt fixés.
    Pour ce qui se profile dans le futur très proche on peut également citer le tant attendu test d’étanchéité, toujours prévu pour jeudi. Il faut que je trouve un créneau pour assister au moins à une partie du test, ça doit valoir le détour !

    En tout cas en ce qui concerne les volets roulants. Pour ce qui est de la ouate, ils ont parfaitement tenu les délais en soufflant les 40cm annoncés sur la totalité de la surface des combles en deux jours.
    Commençons donc par ce qui est terminé, j’ai nommé la ouate de cellulose. Pour ceux qui ne se représentent pas bien à quoi ça ressemble, j’ai fait une photo en mode macro du matériau en question et voici ce que cela donne.
    detail_ouate
    C’est une matière assez filandreuse qui génère beaucoup de poussière lorsqu’elle est soufflée (les voisins sont là pour en témoigner, désolé pour ça …).
    Justement en parlant de soufflage, j’ai déjà posté une photo du moteur qui propulse la ouate dans le tuyau mais il me manquait celle de la machine qui digère et effiloche les ballots de ouate.

    machine
    Pour fonctionner, cette machine a bien évidemment besoin d’électricité, chose qui fait malheureusement toujours défaut sur le chantier pour une sombre histoire entre EDF et Gouy qui fournit le compteur de chantier. Le raccordement est désormais annoncé pour le 16 septembre. Ce groupe électrogène tourne donc quasiment en permanence, autre source de nuisance pour le voisinage.

    groupe
    Pour en revenir à l’épaisseur de ouate soufflée dans les combles, j’ai pris cette photo ou l’on devrait apercevoir le cheminement qui a été aménagé à 40cm au dessus de l’OSB, et bien on ne peut plus que le deviner désormais (cliquez pour zoomer).
    hauteur_ouate
    Il faudra tout de même que j’essaie de m’aventurer un poil plus loin que la trappe d’accès pour voir à quoi ressemble l’autre bout.

    Passons maintenant aux volets roulants qui sont toujours en cours d’installation. On a bien progressé puisque désormais 6 volets sur 7 sont fixés. Je gagerais donc que ce sera terminé lundi. J’ai hâte que l’électricité soit là et tous les volets raccordés pour pouvoir assister au ballet de la descente puis de la montée simultanée des 7 volets.

    Comme ils sont sympas chez Leroy, ils m’ont laissé un des volets baissé pour que je puisse me rendre compte de ce que ça donne. Ils ont donc abaissé le volet sur la cadre fixe situé dans le salon.

    La même façade avec les deux volets roulants qu’elle comporte.
    Cécile m’a fait remarqué fort justement pas plus tard qu’hier que je n’arrêtais pas de dire volet roulant pas ci, volet roulant par là alors qu’il n’y avait pas l’ombre d’un volet roulant dans cette maison … Elle a parfaitement raison et je devrais dire volet empilant mais c’est décidément trop vilain et je décide donc de conserver « roulant ».
    Enfin je voulais terminer par une vue que je n’avais jusqu’ici jamais réussi à saisir sans une grosse verrue de couleur verte en plein au milieu, verrue répondant au surnom de Merlo servant principalement à soulever des charges lourdes.

    Ce matin après avoir assisté à la rentrée scolaire des enfants (première rentrée pour Eliot en petite section, c’est un événement!), j’ai fait un saut sur le chantier pour voir 4 véhicules garés devant la maison. Là je me suis dit: après deux jours de relâche, ça va avancer sérieusement aujourd’hui. En effet le programme du jour consistait à débuter la pose des volets roulants Griesser, d’attaquer l’isolation des combles et de poursuivre la pose des tasseaux sur la fibre de bois (pour fixer le bardage).
    A tout seigneur tout honneur, on commence par l’homme et la femme du jour …
    rentree
    Poursuivons donc par la pose tant attendue des volets roulants. Sur 7 volets à poser, 4 ont été posés ou partiellement posés, j’en déduis que ce n’est effectivement pas une partie de plaisir à installer.
    La première étape a consistait à poser l’isolant entre l’OSB et le volet, il s’agit de 6cm de mousse de polyuréthane. J’entend déjà railler ceux qui pensaient qu’en tant qu’écolos jusqu’au boutistes nous n’allions mettre que des isolants naturels mais là vu la faible épaisseur, nous nous devions de mettre un matériau avec le meilleur lambda possible (le plus faible donc pour ceux qui suivent).

    isolant_volets
    Et là j’ai un petit regret: Leroy n’a pas prévu d’isolant sous le linteau (la poutre en bois au dessus du volet), isolant qui aurait été recouvert par la fibre de bois et qui aurait ainsi intégralement isolé le linteau en traitant ce pont thermique au mieux. Je concède que c’est encore là une manifestation de mon perfectionnisme qui peut sembler tourner à l’obsession mais il me semble que cela aurait pu être réalisé si cela avait été réfléchi au départ. Allez ce sera pour la prochaine MOB.
    Par contre la très bonne surprise réside dans le parfait mariage entre les coloris des pré-cadres en bois et des volets roulants en alu. C’est bien simple, on ne voit aucune différence ! Pourtant nous avions choisi deux coloris qui nous semblaient relativement proches sur deux nuanciers différents, et bien ce fut un coup de maître, jugez-en plutôt.

    volets
    Sur cette vue du volet de la salle de bain des enfants on voit bien comme tout se marie bien.

    sdb
    On voit sur la photo qui suit les lames qui s’empilent au lieu de s’enrouler comme dans un volet roulant classique et c’est ce qui est à l’origine du gain de place phénoménal de ce modèle de volets.

    detail_lames
    Une petite vue de la façade sud-ouest sur laquelle 4 volets ont donc été posés.

    facade
    Et une des deux baies vitrées.
    baies
    Pour en terminer avec le sujet des volets, une petite photo d’une télécommande (tiens, c’est du Somfy !?).
    tc_volets
    Et le cable de l’alimentation électrique d’un volet traversant l’OSB (bien étanche surtout !).
    alim_volets
    On peut passer au deuxième gros chantier de la journée: le soufflage d’une couche de près de 40cm de ouate de cellulose dans les combles.
    Contrairement à ce que je pensais, ils ne passent que par la trappe d’accès aux combles et pas à travers le toit en retirant des tuiles et en perçant le pare-pluie (ce qui aurait été dommage tout le monde en conviendra). Par conséquent ils doivent utiliser un tuyau très long pour atteindre l’autre extrémité du toit. Bref ils doivent passer deux jours pleins pour arriver au bout de ce chantier.
    Quelques vues de la ouate soufflée à proximité de la dite trappe.
    ouate_combles
    ouate_combles2
    On voit bien sur celle-ci qu’il en reste encore largement de quoi faire pour demain.
    combles
    Il reste encore un bon gros tas de ballots de ouate pour la suite.
    stock_ouate
    Et ce qui me semble être le moteur servant à propulser la ouate dans le tuyau (je voyais ça plus gros tout de même).
    souffleuse
    Allez je vais en rester là, il se fait tard et il faut que je garde des choses à raconter pour demain.

    Hier les ouvriers ont mis un sérieux coup de collier, probablement parce qu’ils savaient qu’aujourd’hui ils ne seraient pas sur le chantier (ils démarraient un autre chantier aujourd’hui).

    Ils ont terminé la pose de la laine de bois entre les montants de l’ossature et ce sur les murs extérieurs et sur le mur de refend entre la buanderie et le garage.
    garage1
    entree
    On peut voir sur les vues suivantes que sur les murs qui accueilleront des volets roulants, l’isolation extérieure a été arrêtée à 2/3 de hauteur afin de laisser la réservation pour le coffre de volet accessible.
    baie
    fixe
    Leroy attend des informations complémentaires de la part de Griesser sur la pose de ces volets qui ne sont pas monnaie courante. Si les infos tardent à arriver, ils termineront l’isolation et attaqueront le bardage, ce qui les obligera à poser les volets en passant par en dessous, ce qui sera bien moins aisé.
    Concernant le bardage, on voit sur les photos suivantes que sur deux façades, les tasseaux ont été fixés par dessus la fibre de bois. Le bardage viendra se fixer sur ces tasseaux laissant entre la fibre de bois et le bardage une lame d’air ventilée de 4cm.
    tasseaux
    tasseaux2
    Je termine par cette photo de la laine de bois qui isole le mur de refend (vue depuis le garage).
    refend

    On ne peut pas laisser toute cette belle laine de bois exposée aux intempéries car elle aime bien boire l’eau. La suite logique est donc la pose quasi simultanée de la fibre de bois par dessus. Le matériau retenu est l’Homatherm UD-Q11 Protect en épaisseur de 6cm.

    fibre_homatherm

    Ces panneaux remplissent le double rôle d’isolant extérieur et de pare pluie. Pour la fonction isolation, le R obtenu avec ces 6cm est de 1,39 et surtout cette couche supplémentaire traitera la majorité des ponts thermiques. La densité est d’environ 190 kg/m3 ce qui est bon pour le déphasage thermique. Pour ce qui est de la fonction pare-pluie, ce matériau initialement conçu comme panneau de sous-toiture est garanti pour pouvoir servir de couverture temporaire pendant 10 semaines ! Autant dire que protégé par du bardage mélèze de 20mm, il devrait tenir un moment.

    La pose de ces panneaux est simplifiée par la présence de rainures et de languettes qui s’emboîtent simplement.

    detail_chanfrain detail_chanfrain2

    La grande longueur des panneaux permet d’aller vite, seules les découpes ralentissent le travail et génèrent quantité de sciure.

    pose_fibre1 pose_fibre2 pose_fibre3 coup_de_balai

    Voici un angle fini, on pourrait presque le laisser comme ça :) .

    angle_fini

    Ici ce n’est pas encore totalement couvert.

    entree

    Lundi c’est la reprise du boulot, de la recherche d’artisans pour le second oeuvre, de la quête du poêle à bois parfait, de l’achat du bois de chauffage pour cet hiver (pour la MOB et pour la maison qu’on loue !), des choix de carrelage ou encore des portes intérieures et j’en passe. Bref pas vraiment de quoi chômer …

    Il était plus que temps de combler ces vides entre les montants des murs, c’est donc la tâche à laquelle se sont ensuite attelés les charpentiers.
    Le produit retenu pour ça est l’Holzflex Standard d’une épaisseur de 14cm. Le R obtenu est ainsi de 3,68 pour une densité de 40kg/m3.

    homatherm

    Eliot se demande si ce tout petit tas sera suffisant.

    laine_eliot

    En fait non, d’autres tas sont disséminés dans la maison, bien à l’abri des intempéries.

    La pose de ce matériau semble être un jeu d’enfant car il s’ajuste parfaitement entre les montants sans recoupe. Lorsqu’une largeur non standard entre montants existe ou pour finir le haut d’un mur, il faut jouer de la scie égoïne (masque respiratoire obligatoire, pas pour tout le monde semble-t-il …)

    laine_mur_no pose_laine

    Le garage une fois terminé.

    laine_garage
    On constate ici que les chutes ne sont pas perdues pour tout le monde !
    On voit ici le soin appliqué aux découpes.
    Les murs qui comportent des volets roulants n’ont pas encore été commencés car ils attendent que les volets roulants aient été posés (semaine prochaine j’espère !).
    Allez, on poursuit avec l’isolation extérieure dans le prochain article.

    Une semaine éloigné du chantier c’est long et c’est bref mais en tout cas ce fut l’occasion d’une coupure presque complète avec ce projet au long court. Quasi-complète car j’avais tout de même demandé à mon père de faire quelques apparitions sur le chantier afin de suivre ce qui se faisait et de prendre des photos de la progression, photos que j’ai pu consulter depuis une connexion internet louée au syndicat d’initiative d’Orpierre.

    orpierre

    Cette semaine très active pour l’entreprise Leroy a commencé par la pose de l’OSB sous les fermettes. Je rappelle que cet OSB constitue le pare-vapeur supérieur de l’enveloppe étanche et qu’à ce titre sa pose doit être très soignée et évidemment étanche à l’air.

    pose_plaques

    Vu la longueur du bâtiment, il a été nécessaire de créer deux joints de dilatation comme celui qu’est en train de réaliser cet ouvrier.

    joint_dilatation

    Au niveau de la jonction avec l’OSB des murs, des tasseaux sont fixés et jointoyés pour rattraper le vide important.

    plafond_tasseau

    Au final ce plafond qui sera évidemment masqué par un plafond suspendu en BA13, constitue un sérieux patchwork car il a fallu se fixer sur le fermettes dont la disposition est assez complexe. La clé du puzzle est constituée par ce carré de 10×10 (pourvu qu’elle ne tombe pas car tout tombe avec ;-) ). Le scotch fait l’étanchéité à l’air là ou le joint n’a pas pu être ajouté.
    patchwork
    Quelques vues d’ensemble de ce plafond.
    plafond_jour plafond_nuit
    La trappe d’accès aux combles, située dans le garage pour ne pas provoquer de problèmes s’étanchéité, a été créée. On peut voir qu’un caisson a été confectionné tout autour afin de retenir la ouate de cellulose qui sera bientôt soufflée par dessus l’OSB.
    trappe
    Enfin conformément à ma demande, le mur de refend entre la buanderie et le garage a été prolongé vers le haut jusqu’à l’OSB du plafond car la zone chaude et étanche s’arrête ici.
    mur_rehausse

    On continue dans les articles suivants avec l’isolation des murs…

    J’ai annoncé avoir reçu les deux accessoires indispensables pour brûler efficace et écolo et je les brièvement essayés.

    Commençons par le fendeur de buches. C’est un accessoire qui pourra être qualifié d’inutile voir de « truc pour les gonzesses » par ceux qui manient leur merlin éclateur avec maestria, mais c’est une quasi garantie de pouvoir faire son bois en totale sécurité. J’ai aussi un merlin aussi je me réserve le droit d’utiliser l’un ou l’autre. Voici donc une photo de la bête.

    fendeur

    J’ai pu le tester sur une buche cylindrique, elle a rapidement rendu les armes et s’est retrouvée fendue en 4. En effet j’ai expliqué dans un article précédent, qu’une buche fendue allait fournir une flamme plus intense et donc permettre d’atteindre la double combustion. Par contre une autre buche constellée de noeuds a résolument refusé de céder sous les assauts du fendeur. Il faut que je me dégote un vieux pneu qui posé sur le sol me permettra de ceinturer quelques buches puis de les fendre sans problème de stabilité.

    Deuxième ingrédient des feux réussis, un bois bien sec ! Pour ne plus laisser place au doute, j’ai donc commandé sur eBay un testeur d’humidité du bois en provenance directe de Hong-kong. En voici quelques vues.

    detec1 detec2

    Les pointes qu’il faut enfoncer d’environ 5mm dans le bois afin d’avoir une mesure correcte.

    detec3

    Une pression sur le bouton permet de lire directement le pourcentage d’humidité.

    detec4

    Il existe un système de correction de la mesure en fonction de la température ambiante.

    J’ai fait quelques tests qui se sont révélés cohérents et qui confirment le fait qu’il faille fendre la buche juste avant la mesure pour avoir un résultat fiable.